La Collectivité inscrit son action RH dans le cadre juridique suivant :
Aucune distinction, directe ou indirecte, ne peut être faite entre les fonctionnaires en raison de leurs opinions politiques, syndicales, philosophiques ou religieuses,
de leur origine, de leur orientation sexuelle ou identité de genre, de leur âge, de leur patronyme, de leur situation de famille ou de grossesse, de leur état de santé,
de leur apparence physique, de leur handicap ou de leur appartenance ou de leur non appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie ou une race.
Article 6 de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983.
Aucun fonctionnaire ne doit subir les agissements répétés de harcèlement moral qui ont pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail
susceptible de porter atteinte à ses droits et à sa dignité, d’altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel.
Article 6 quinquies de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983.
Aucun fonctionnaire ne doit subir les faits :
a) Soit de harcèlement sexuel, constitué de propos ou comportements à connotation sexuelle répétés qui soit portent atteinte à sa dignité
en raison de leur caractère dégradant et humiliant, soit créent à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante ;
b) Soit assimilés au harcèlement sexuel, consistant en toute forme de pression grave, même non répétée, exercée dans le but
réel ou apparent d’obtenir un acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l’auteur des faits ou au profit d’un tiers.
Article 6 ter de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983.
Voici la liste des règlements disponibles sous Nautilus :
Vous pourrez en outre consulter :
Travailler ensemble dans le respect et l'engagement
La vie professionnelle en collectivité repose sur des valeurs partagées qui garantissent à chacun un cadre de travail respectueux, équitable et épanouissant.
Chaque agent doit pouvoir accomplir ses missions dans un climat de confiance, être accompagné dans son parcours, et bénéficier d’un management attentif et juste.
Afin de préserver la qualité de vie au travail, il est essentiel de respecter des principes de savoir-être communs.
Ces règles sont à la fois des droits et des devoirs, au service du bien commun et de la cohésion professionnelle.
S’engager au service de l’intérêt général, c’est faire preuve de loyauté, d’exemplarité et d’ouverture. Cela implique :
Chaque agent incarne en effet, dans ses actes et attitudes, l’image de la collectivité.
La politesse et la déférence (considération réciproque) sont le socle de relations apaisées :
Les échanges, oraux comme écrits, doivent toujours se faire dans un esprit de respect et de professionnalisme.
Respecter l’autre, c’est reconnaître sa place, ses compétences, ses différences. Cela se traduit par :
Le respect mutuel est une condition essentielle au bon fonctionnement collectif.
La solidarité donne sens à l’action collective. Elle se manifeste par :
La solidarité renforce la cohésion et contribue à un environnement de travail plus humain et plus efficace.
Cette charte invite chacun à être acteur d’un environnement professionnel fondé sur des relations de confiance, de respect et de coopération, au service d’un service public de qualité.
Construisons ensemble un cadre de travail sain, respectueux et tourné vers l’intérêt général !
Passer 8 heures par jour avec des gens qu’on n’a pas choisis,
c’est un peu comme la coloc, mais sans les soirées pizzas.
Heureusement, il existe des règles pour que la cohabitation ne vire pas au cauchemar.
Spoiler : ça commence par un peu de politesse,
ça continue comme le sport par de l'auto-discipline,
et ça se parachève avec beaucoup de bon sens.
Dans certaines structures, tout le monde se tutoie, même le boss. Dans d’autres, le vouvoiement est sacré. La bonne attitude ? S’adapter.
On ne tutoie pas son/sa supérieur·e sans y être invité. Et le tutoiement n’autorise pas la familiarité : on garde le respect, même en mode cool.
Côté prénoms ou "Monsieur Dupont", tout dépend de l’ambiance, de l’âge des gens, de leurs souhaits et de la culture de l’entreprise.
Tant qu’on évite le "Hé toi", on est déjà sur la bonne voie.
Quelques règles simples pour éviter les faux pas :
En tant qu’employé·e, on respecte ses chefs, même si on pense qu’on connaît mieux son travail qu'eux.
Pas de familiarités inutiles, pas de critiques dans le dos, pas de comparaisons mal placées.
En cas de souci, on demande de l’aide, calmement.
En tant que manager,
Côté collaborateurs, on attend professionnalisme et respect de la hiérarchie, même en cas de désaccord.
On peut (et doit) poser des questions, mais on évite les familiarités excessives, les comparaisons entre collègues ou les critiques non constructives.
Côté managers, un mot de reconnaissance, un merci, ou une attention aux contraintes de l’équipe font toute la différence.
Éviter les réunions tardives inutiles, rester à l’écoute et respecter l’équilibre pro/perso renforce la cohésion.